Projets de recherche

L’UDDM a signé plusieurs autres conventions pour la mise en œuvre de plusieurs projets de recherche scientifiques dont, entre autres :

  • Gestion intégrée des insectes ravageurs des principales cultures maraîchères ;
  • Lutte biologique contre la chenille mineuse ravageuse du ravageur du mil ;
  • Gestion Intégrée de la Mineuse de l’Epi du Mil (GIMEM3) ;
  • COWPEASQUARE ;
  • Lutte Biologique contre la chenille mineuse de l’épi du mil au Niger et Sénégal ;
  • SAPHE (Mettre en place 2 masters internationaux – Agroforesterie et SIG/Télédétection) ;
  • ACGVELA ;
  • Conventions PRODAF-UDDM ;
  • Amélioration de la productivité et valorisation du sésame au Niger ;
  • Master MASSA (projet de Master sous régional) ;
  • Intégration des institutions d’Enseignement Supérieur dans le PDDAA : Approvisionnement alimentaire et réduire la faim ; et
  • La Convention UDDM-PAM, objet de la présente rencontre.

Dans la mise en œuvre de convention avec le Programme alimentaire mondial, plusieurs études ont été réalisées depuis 2018. On peut citer entre autres :

  • L’étude des pesanteurs socioculturelles et leurs impacts sur les activités de développement dans les communes de Baoudéta, Guidan roumdji et Mayahi.
  • L’étude des opportunités de prise en charge de la malnutrition à base des produits locaux ;
  • L’étude des facteurs et degrés de persistance de la malnutrition dans la région de Maradi ;
  • La gestion des ressources naturelles et rôles des acteurs dans la durabilité des actions de développement ;
  • L’évaluation des impacts des terres récupérées sur l’alimentation des petits ruminants.

Les résultats de toutes ces études ont permis de relever d’énormes succès des actions de développement mises en œuvre par le PAM et ses partenaires. Également des évidences claires en termes de changement ont été relevées dans les différentes localités étudiées et ont significativement amélioré les conditions de vie des populations à travers :

  • La réduction du taux de la malnutrition ;
  • L’accroissement des revenus des producteurs,
  • L’amélioration du taux de scolarisation et le maintien des filles à l’école ;
  • L’augmentation des superficies cultivables par la récupération des terres dégradées ;
  • L’autonomisation de la femme ;
  • L’amélioration de la gouvernance des ressources naturelles